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octobre 2022
  • Handicap en entreprise – comment favoriser l’inclusion ?

    Handicap en entreprise : comment favoriser l’inclusion ?

    À l’occasion de la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées (SEEPH), Yoburo vous donne 4 conseils pour favoriser l’inclusion des collaborateurs atteints d’un handicap au sein de votre entreprise.

    Aménager votre entreprise

    Pour favoriser l’inclusion des personnes en situation de handicap, vous devez veiller à faire des aménagements pour que vos collaborateurs puissent exercer leur métier dans de bonnes conditions. Voici quelques exemples de mesures à mettre en place :

    • Faciliter l’accessibilité des locaux : présence d’un ascenseur, de rampes et de toilettes adaptées…
    • Aménager les postes de travail : matériels informatiques spécifiques, véhicule adapté, réduction des bruits sonores et des lumières vives…
    • Aménager l’organisation du travail : aménagement du temps de travail, répartition des tâches, rotation des postes…

    Sensibiliser vos collaborateurs au handicap

    Sensibiliser l’ensemble de vos collaborateurs au handicap renforce l’inclusion des personnes handicapées. En effet, la sensibilisation permet de :

    mieux comprendre le handicap ;
    impliquer vos employés sur les questions du handicap ;
    favoriser l’ouverture d’esprit ;
    combattre les préjugés, les inégalités et les discriminations ;
    accueillir bienveillamment les personnes handicapées ;
    construire une culture d’entreprise fondée sur la tolérance et le respect

    Pour sensibiliser vos collaborateurs au handicap, vous pouvez :

    • programmer des activités et ateliers : expression théâtrale, handi’quiz, atelier pour apprendre la langue des signes, repas dans le noir, etc.
    • organiser des conférences sur le handicap visible et invisible, l’inclusion, etc.
    • mettre à disposition de la documentation sur le thème du handicap : newsletters, magazines…

    Avoir un référent handicap

    Vous pouvez former un collaborateur (RH, DRH, RRH, manager, médecin du travail, collaborateur volontaire…) pour qu’il devienne un référent handicap. Le rôle du référent est « d’orienter, d’informer et d’accompagner les personnes en situation de handicap » afin d’optimiser leur insertion au sein de l’entreprise (article L5213-6-1 du Code du travail).

    À savoir : Toute entreprise employant au moins 250 salariés a l’obligation de désigner un référent handicap.

    Entretenir des relations professionnelles bienveillantes

    Avoir des relations professionnelles positives renforce l’inclusion des personnes en situation de handicap. En effet, une bonne entente au sein de l’entreprise permet aux collaborateurs handicapés de se sentir soutenus et de développer un sentiment d’appartenance à un groupe. Pour construire des relations professionnelles bienveillantes, vous pouvez :

    • organiser des activités de team building pour renforcer la cohésion de vos collaborateurs ;
    • aménager des espaces de détente accessibles à tous pour faciliter la création de liens entre vos collaborateurs ;
    • former vos collaborateurs à la communication non violente pour avoir un climat de travail agréable ;
    • créer une culture d’entreprise fondée sur l’égalité, la non-discrimination et le respect…

    Vous souhaitez améliorer l’inclusion de vos collaborateurs en situation de handicap ?

    Yoburo peut vous aider ! À l’occasion de la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées du 14 au 22 novembre 2022, nous proposons :

    • 2 conférences pour mieux comprendre le handicap : « Comprendre le handicap pour bien travailler ensemble » et « Le handicap invisible en entreprise ».
    • des ateliers adaptés aux personnes handicapées : yoga sur chaise, yoga des yeux, techniques d’auto-massage, etc.
    • des activités de team building pour renforcer l’esprit d’équipe de vos collaborateurs : expression théâtrale, Handi’Quiz…

    Pour organiser votre SEEPH avec Yoburo, cliquez ici.

  • Le droit à la déconnexion

    Le droit à la déconnexion

    Avec l’évolution des habitudes digitales, les salariés sont de plus en plus confrontés à l’hyperconnexion. Pour préserver leur santé et leur bien-être, un droit à la déconnexion a été inscrit dans la loi. Dans cet article, Yoburo vous explique ce droit et l’importance de celui-ci.

    Qu’est-ce que le droit à la déconnexion ?

    Le droit à la déconnexion est une mesure issue de la loi El Khomri (appelée aussi la loi Travail) adoptée en 2016. Cette mesure stipule qu’un salarié a le droit de ne pas être connecté à ses outils numériques professionnels et de ne pas être joignable par son entreprise en dehors de ses horaires de travail (congés, temps de repos, temps de transport travail-domicile…). Ce droit concerne tous les salariés amenés à utiliser des outils numériques pour exercer leur activité professionnelle.

    À savoir : Depuis le 1er janvier 2017, toutes les entreprises pourvues d’un délégué syndical ont le devoir « d’engager une négociation afin de définir les modalités selon lesquelles le salarié pourra exercer son droit à la déconnexion » (ministère du Travail, du Plein Emploi et de l’Insertion).

    Quels sont les objectifs de ce droit ?

    Le droit à la déconnexion à 2 objectifs principaux :

    1. Préserver un équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle des salariés.
    L’hyperconnexion contribue à l’effacement des frontières entre la vie professionnelle et la vie personnelle. En effet, avec l’évolution de nos habitudes digitales, il n’est pas rare que le travail s’invite à la maison.

    2. Préserver la santé mentale des salariés.
    L’utilisation excessive des outils numériques peut être une grande source de stress. En effet, entre les mails, les messageries professionnelles, les appels téléphoniques… beaucoup de salariés sont continuellement sollicités. Cette sur- sollicitation peut entrainer chez les salariés une baisse de concentration et de productivité, une fatigue mentale, un stress voire un burnout

    Le droit à la déconnexion est donc une mesure indispensable pour préserver le bien-être des salariés.

    Vous êtes une entreprise et souhaitez sensibiliser vos collaborateurs aux risques liés à l’hyperconnexion ? Yoburo peut vous accompagner dans cette démarche ! Nous proposons une conférence spécialement dédiée au droit à la déconnexion. Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

  • 3 idées reçues sur l’alimentation

    3 idées reçues sur l’alimentation

    L’ananas est un brûle-graisse, le sucre roux est meilleur pour la santé que le sucre blanc, les féculents font grossir… beaucoup d’idées reçues sur l’alimentation ont la vie dure ! À l’occasion de la Journée mondiale de l’alimentation, Yoburo fait le point sur 3 idées reçues très populaires sur l’alimentation.

    Idée reçue n° 1 : les féculents font grossir

    Les féculents (céréales, légumineuses et tubercules) ont la réputation de faire grossir, car ils sont riches en glucides. En réalité, ce ne sont pas les féculents en eux-mêmes qui font grossir, mais la façon dont ils sont consommés. Voici 3 recommandations pour consommer des féculents sans prendre de poids :

    Limiter les accompagnements très caloriques : sauces, fromages, crème fraiche, beurre…

    Ne pas manger en excès des féculents : une assiette équilibrée est composée de fruits et légumes (1/2), de féculents (1/4) et de protéines (1/4).

    Choisir des féculents complets ou semi-complets : les féculents complets sont plus riches en nutriments et apportent une plus longue sensation de satiété que les féculents raffinés.

    Les féculents font partie intégrante d’une alimentation équilibrée et sont une source d’énergie indispensable pour notre organisme.

    Idée reçue n° 2 : un jus de fruits est équivalent à un fruit frais

    Boire un jus de fruits n’apporte pas les mêmes bienfaits que de manger un fruit frais. En effet, un fruit frais est riche en fibres, vitamines, minéraux, fructose… Lorsqu’il est transformé en jus, il perd une partie de ses nutriments.
    De plus, un verre de jus de fruits est beaucoup plus riche en sucre qu’un fruit frais. En effet, pour obtenir un verre de jus d’orange, il faut 2 voire 3 oranges. Une orange contient environ 16 g de sucre, ce qui est équivalent à 2 morceaux de sucre. Un verre de jus d’orange contient donc 4 voire 6 morceaux de sucre.

    Par ailleurs, un jus de fruits n’apporte pas la même sensation de satiété qu’un fruit frais.

    La consommation de jus de fruits est un plaisir gustatif qui doit rester occasionnel. Au quotidien, il est préférable de consommer des fruits entiers.

    Idée reçue n° 3 : les légumes surgelés contiennent moins de nutriments que les légumes frais

    Si le temps entre la récolte et la consommation des légumes frais est trop long, les légumes perdent une grande quantité de leurs nutriments. La surgélation limite cette dégradation en conservant une grande partie des nutriments présents dans les légumes. Toutefois, même surgelés, les légumes perdent en qualité au fil du temps, c’est pourquoi il est conseillé de ne pas les laisser plus de 6 mois dans un congélateur.

    Les légumes frais sont plus riches en nutriments que les légumes surgelés à 2 conditions :
    • Ils doivent être consommés 2 voire 3 jours après avoir été récoltés.
    • Ils doivent être stockés à l’abri de la lumière, la chaleur et de l’air.

    Si vous souhaitez en savoir plus sur l’alimentation, nous vous invitons à :
    • lire notre article Télétravail : 6 conseils pour avoir une alimentation saine et équilibrée.
    • écouter nos podcasts : Une lunch box pleine de vitalité ! et L’assiette anti-coup de pompe.

    Vous êtes une entreprise et souhaitez prendre soin de l’alimentation de vos collaborateurs ? Yoburo peut vous aider dans cette démarche ! Nous proposons une conférence spécialement dédiée à la nutrition. Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

  • Comment prévenir le cancer du sein ?

    Comment prévenir le cancer du sein ?

    À l’occasion de la campagne Octobre Rose, Yoburo vous donne 6 conseils pour prévenir le cancer du sein.

    Limiter votre consommation d’alcool

    Selon une étude du Centre international de Recherche sur le Cancer, boire régulièrement de l’alcool accroît le risque de développer un cancer du sein. En effet, l’alcool augmente le taux d’œstrogènes. Ce sont des hormones féminines qui peuvent transformer les cellules mammaires en cellules cancéreuses. Pour prévenir le cancer du sein, il est donc recommandé « de limiter autant que possible la consommation d’alcool, tant en termes de quantités consommées que de fréquence de consommation » (recommandation du Centre de lutte contre le cancer Léon Bérard).

    Éviter le tabac

    Le tabac augmente également le risque de contracter un cancer du sein. En effet, la fumée de tabac est composée de nombreuses substances chimiques dangereuses pour la santé : des goudrons (benzopyrènes, anthracènes), des gaz toxiques (monoxyde de carbone, oxyde d’azote, acide cyanhydrique, ammoniac), des métaux lourds (cadmium, mercure, plomb, chrome), etc. Pour préserver votre santé et prévenir le cancer du sein, il est donc conseillé de ne pas fumer et d’éviter autant que possible le tabagisme passif (le fait d’inhaler involontairement la fumée de tabac présente dans l’air).

    Contrôler votre poids

    Le surpoids et l’obésité sont aussi des facteurs de risque favorisant la survenue d’un cancer du sein, surtout pour les femmes ménopausées. En effet, un excès de poids peut provoquer un état inflammatoire et des dérèglements hormonaux (production accrue d’insuline et d’œstrogènes)… ce qui favorise l’apparition de cellules cancéreuses. Pour prévenir le cancer du sein, vous devez donc veiller à ne pas être en surcharge pondérale.

    Pour évaluer votre corpulence, vous pouvez calculer votre IMC (indice de masse corporelle). C’est une unité de mesure relativement fiable* qui permet d’identifier rapidement et facilement un problème de poids.

    IMC = poids (en kg) / taille2 (en m).

    Interprétation de l’IMC :

    • moins de 18,4 : insuffisance pondérale (maigreur) ;

    • entre 18,5 et 24,9 : corpulence normale ;
    • entre 25 et 29,9 : surpoids ;
    • entre 30 et 34,9 : obésité modérée ;

    • entre 35 et 39,9 : obésité sévère ;

    • plus de 40 : obésité morbide.

    Par exemple : Une femme pesant 62 kg et mesurant 1,70 m à un IMC de 62/1,70 2 = 21,5. Cette personne a donc une corpulence normale.

    * L’IMC reste une mesure approximative, car elle ne fait pas de distinction entre la graisse, la musculature et l’ossature. Malgré tout, cet outil reste utile pour avoir rapidement et facilement une estimation de sa corpulence.

    Pratiquer une activité physique régulière

    La pratique régulière d’une activité physique diminue le risque de développer un cancer du sein. En effet, le sport agit positivement sur plusieurs facteurs de risque responsables de cette maladie : baisse le taux de glycémie, diminue la quantité d’œstrogènes, limite le surpoids et la sédentarité, diminue le stress chronique, renforce le système immunitaire… Si vous souhaitez en savoir plus sur les bienfaits du sport pour prévenir le cancer du sein, Yoburo vous invite à lire l’article suivant : Le sport, un allié contre le cancer du sein.

    Si vous avez entre 18 et 64 ans, l’OMS vous recommande de :
    • pratiquer une activité physique d’endurance d’intensité modérée d’une durée minimale de 150 minutes ou au moins 75 minutes d’activité physique soutenue par semaine ;
    • pratiquer des activités de renforcement musculaire d’intensité modérée 2 fois par semaine ;
    limiter la sédentarité en bougeant quotidiennement.

    Avoir une alimentation saine et équilibrée

    Avoir une alimentation saine et équilibrée permet de donner à votre corps tous les nutriments dont il a besoin pour rester en bonne santé : renforcer votre système immunitaire, limiter l’excès de poids… Pour cela, nous vous recommandons de :
    • privilégier les fruits et légumes de saison, les légumineuses, les céréales complètes ainsi que les fruits secs ;
    • modérer votre consommation de sel, de sucre et de graisse ;
    • varier les aliments ;
    • privilégier les aliments issus de l’agriculture biologique ;
    • éviter de consommer des aliments ultra-transformés…

    Si vous souhaitez en savoir plus sur ce sujet, n’hésitez pas à lire notre article 6 conseils pour avoir une alimentation saine et équilibrée.

    Limiter le stress

    Une exposition prolongée et répétée au stress peut favoriser la survenue d’un cancer du sein. En effet, le stress chronique fragilise le système immunitaire, engendre un déséquilibre hormonal et mène à des comportements néfastes pour la santé (suralimentation, tabagisme, alcoolisme, sédentarité…). Pour limiter votre stress et préserver une bonne santé, nous vous recommandons de :

    • pratiquer une activité physique régulière ;
    équilibrer votre vie professionnelle et personnelle ;
    • apprendre à gérer vos émotions ;
    dormir suffisamment (entre 7 et 9 heures par jour) ;
    pratiquer la méditation ;
    • faire des exercices de respiration…

    Pour conclure

    Avoir une bonne hygiène de vie aide à prévenir le cancer du sein. Toutefois, le risque zéro n’existe pas, c’est pourquoi il est recommandé :
    • à tout âge de pratiquer tous les mois l’auto-palpation (cliquez ici pour en savoir plus) ;
    • entre 25 et 49 ans et après 74 ans de réaliser un examen clinique des seins tous les ans (palpation par un professionnel de santé : médecin généraliste, gynécologue ou sage- femme).
    • entre 50 et 74 ans de réaliser un examen clinique des seins tous les ans (palpation) et une mammographie de dépistage tous les deux ans.

    En revanche, si vous avez des antécédents personnels ou familiaux, votre suivi médical doit être plus régulier. Pour en savoir plus sur ce sujet, cliquez ici.

    Vous êtes une entreprise et souhaitez prendre soin de la santé de vos collaboratrices et collaborateurs ? Yoburo peut vous accompagner dans cette démarche en vous proposant de nombreuses solutions sport santé :
    des activités physiques : renforcement musculaire, circuit training, Zumba, cardio-boxing, yoga, Pilates, Qi Gong…
    des ateliers bien-être : méditation, gestion du stress, exercices de respiration…
    des conférences : sensibilisation et prévention du cancer du sein, gestion des émotions, équilibrer vie professionnelle et personnelle, nutrition, améliorer sa qualité de vie grâce à l’activité physique…
    Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.