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Simon Halperin

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  • Le Qi Gong et ses bienfaits

    Le Qi Gong est une discipline issue de la médecine traditionnelle chinoise. C’est une activité physique douce et complète qui apporte de nombreux bienfaits au corps et à l’esprit.

    Dans cet article, Yoburo vous explique ce qu’est le Qi Gong et vous liste les bienfaits de cette pratique.

    Qu’est-ce que le Qi Gong ?

    Le Qi Gong est un art énergétique ancestral issu de la médecine traditionnelle chinoise. « Qi » signifie l’énergie et le souffle. « Gong » signifie le travail et la maîtrise. Le Qi Gong est donc le travail et la maîtrise de l’énergie, ainsi que du souffle.

    Le Qi Gong est une gymnastique douce et lente qui amène à un état de bien-être global.
    Cette discipline chinoise connecte et harmonise le corps et l’esprit.

    Le Qi Gong repose sur trois principes : « des mouvements du corps lents et détendus, des techniques de respiration synchronisées avec le geste, ainsi qu’une éducation à la concentration », explique l’Union Pro Qi Gong.

    Cette activité physique est accessible à tous et aucune condition physique préalable n’est nécessaire. Par contre, les femmes enceintes doivent éviter de pratiquer certains exercices demandant des contractions musculaires et respirations soutenues.

    Quels sont les bienfaits de cette activité physique ?

    Le Qi Gong apporte de nombreux bienfaits au corps, à l’esprit et à la santé.

    Pour le corps, le Qi Gong :
    • améliore la souplesse et l’équilibre ;
    • renforce les muscles et tonifie le corps ;
    • améliore les capacités respiratoires ;
    • aide à la préparation du corps pour des exercices physiques intenses ;
    • aide à avoir une meilleure récupération après un effort physique intense…

    Pour l’esprit, le Qi Gong :
    • relaxe et aide à lutter contre le stress ainsi que l’anxiété ;
    • aide à mieux gérer ses émotions ;
    • aide à vivre pleinement l’instant présent ;
    • favorise la concentration, la disponibilité, la créativité…

    Pour la santé, le Qi Gong :
    • renforce les fonctions immunitaires de l’organisme ;
    • diminue les risques de diabète, d’hypertension et de douleurs chroniques ;
    • prévient l’apparition de certaines maladies…

    Le Qi Gong est solution sport santé très simple à mettre en place en entreprise pour améliorer le bien-être des collaborateurs.

    Vous êtes intéressé par cette pratique ? Yoburo propose des séances de Qi Gong adaptées aux besoins de chaque entreprise. N’hésitez plus, et testez une séance avec l’un de nos coachs sportifs !

  • Comprendre et prévenir les troubles musculo-squelettiques (TMS)

    L’activité professionnelle joue souvent un rôle dans la survenue, le maintien et l’aggravation des troubles musculo-squelettiques. Dans cet article, Yoburo vous aide à comprendre et à prévenir ces maladies professionnelles.

    Qu’est-ce que les troubles musculo-squelettiques ?

    Définition

    Les troubles musculo-squelettiques (TMS) « regroupent des affections touchant les structures situées à la périphérie des articulations : muscles, tendons, nerfs, ligaments, bourses séreuses, capsules articulaires, vaisseaux, etc. Les TMS résultent d’un déséquilibre entre les capacités physiques du corps et les sollicitations et contraintes auxquelles il est exposé. » (définition de l’Assurance Maladie.)

    Le dos, le cou, les poignets, les épaules, les coudes et les genoux sont les parties du corps les plus fréquemment touchées par les TMS (syndrome du canal carpien, épicondylite, syndrome de la coiffe des rotateurs, lombalgies, cervicalgies…).

    Aujourd’hui, beaucoup de TMS sont reconnus comme étant des maladies professionnelles, car l’activité professionnelle est souvent la cause principale de ces affections.

    Symptômes des TMS

    Les symptômes des troubles musculo-squelettiques dépendent de la nature du TMS et de la partie du corps touchée. Voici les principaux premiers symptômes de ces maladies professionnelles :
    • sensation de gêne ;
    • douleurs ;
    • raideur articulaire ;
    • rougeurs et gonflements ;
    • troubles circulatoires ;
    • picotements et engourdissements ;
    • diminution de la souplesse, de la force, de la dextérité…

    Évolution des troubles musculo-squelettiques

    Les TMS évoluent progressivement. Cette évolution peut être divisée en 3 stades :

    1. Stade initial : les désagréments apparaissent durant une activité exercée régulièrement, mais ils disparaissent au repos.

    2. Stade intermédiaire : les désagréments apparaissent rapidement durant une activité exercée régulièrement et mettent plus de temps à disparaître au repos.

    3. Stade de pathologie avérée : les désagréments deviennent chroniques et persistent durant d’autres activités et au repos. Les symptômes évoluent et deviennent plus spécifiques à la nature du TMS.

    Quels facteurs favorisent l’apparition des TMS ?

    Généralement, les troubles musculo-squelettiques découlent d’une combinaison de plusieurs facteurs de risques.
    Voici les 5 principaux facteurs :

    Biomécaniques : gestes contraignants (torsion du poignet, flexion et extension des coudes et des genoux, etc.), postures contraignantes (travail accroupi, penché, statique, etc.), répétition fréquente de mêmes gestes, port de charges lourdes…

    Environnementaux : le froid et la chaleur, l’exposition aux vibrations (conduite d’engins, utilisation d’outils vibrants, etc.), le bruit, la qualité de l’éclairage…

    Psychosociaux : mauvaise relation au travail, manque d’entraide entre les collaborateurs, exigences émotionnelles importantes, manque de reconnaissance professionnelle, travail complexe, tâches dépourvues de sens…

    Organisationnels : contraintes de temps (délais de réalisation trop courts, rythme de travail trop soutenu, etc.), travail répétitif et monotone, manque de contrôle et d’autonomie…

    Individuels : âge, antécédents familiaux, santé (diabète, surpoids, etc.), hygiène de vie (tabagisme, absence d’activité sportive, quantité de sommeil, etc.)…

    Quelles sont les conséquences des troubles musculo-squelettiques ?

    Les TMS peuvent avoir des conséquences négatives pour les collaborateurs, mais aussi pour les entreprises.

    Pour les collaborateurs :
    • dégradation de la santé et de la qualité de vie : gênes et douleurs fréquentes, réduction des capacités physiques, perte d’autonomie, risque de handicap…
    • dégradation de la vie professionnelle : évolution professionnelle difficile, risque d’inaptitude et de désinsertion…

    Pour les entreprises :
    • augmentation des incidents et accidents de travail ;
    • augmentation de l’absentéisme et du turnover ;
    • démotivation des collaborateurs ;
    • diminution de la productivité et de la qualité du travail ;
    • désorganisation du travail ;
    • dégradation des relations sociales ;
    • dégradation de l’image de l’entreprise…

    Comment prévenir les TMS en entreprise ?

    Voici quelques pistes pour prévenir les risques de troubles musculo-squelettiques au sein d’une entreprise :

    Identifier les facteurs responsables de TMS.
    Réaliser un diagnostic permet d’identifier et de comprendre les risques de TMS actuels ou potentiels au sein de l’entreprise.

    Agir sur les facteurs responsables de troubles musculo-squelettiques.
    Après avoir identifié les facteurs favorisant les TMS, il est nécessaire de mettre en place des solutions pour éliminer ou limiter ces risques professionnels. Pour améliorer les conditions de travail des collaborateurs, l’entreprise peut, par exemple, aménager les postes de travail, fournir des équipements adaptés et ergonomiques, modifier l’organisation du travail…

    Informer et former les collaborateurs sur les risques de TMS.
    Proposer aux collaborateurs des conférences et formations sur les troubles musculo-squelettiques.

    Proposer des activités physiques et ateliers bien-être.
    Pour prévenir les TMS, l’entreprise peut proposer des activités physiques et des ateliers bien-être adaptés aux postes de travail des collaborateurs. Des séances de réveil musculaire, d’échauffements, d’étirements, des ateliers pour apprendre à réaliser les bons gestes et avoir les bonnes postures au travail… contribuent à améliorer la santé physique et mentale des collaborateurs.

    Dialoguer avec les collaborateurs pour améliorer les conditions de travail.
    Un collaborateur heureux et en bonne santé est un collaborateur performant.

    Évaluer l’efficacité des solutions de prévention.
    Après avoir mis en place des solutions pour prévenir les TMS en entreprise, il est nécessaire d’évaluer si celles-ci sont véritablement efficaces.

    Pour conclure

    Pour lutter contre les troubles musculo-squelettiques, de nombreuses solutions de prévention santé peuvent être mises en place en entreprise. En améliorant les conditions et la qualité de vie au travail des collaborateurs, l’entreprise améliore et accroît en même temps sa productivité.

    Pour prévenir et limiter les TMS, Yoburo propose aux entreprises de nombreuses solutions santé :
    • Des activités physiques et ateliers bien-être : réveil musculaire, étirements, échauffements, atelier Gestes et Postures, atelier pour apprendre à soulager son dos…
    • Des conférences : se prémunir des troubles musculo-squelettiques et adopter la bonne posture au travail.
    • Une formation des référents en interne
    • Des évènements Safety Day ou journées QVT.

    Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

  • Méditation et sophrologie : quelles différences ?

    Méditation ou sophrologie ? Il n’est pas toujours évident de distinguer ces 2 méthodes de relaxation et de bien-être. Pourtant, elles ont de grandes différences ! Dans cet article, Yoburo vous aide à différencier ces 2 pratiques.

    Qu’est-ce que la méditation et la sophrologie ?

    La méditation de pleine conscience

    La méditation est un entraînement de l’esprit qui amène à un état de pleine conscience : notre attention est focalisée sur le moment présent. En effet, la méditation permet de vivre pleinement l’instant présent en accueillant, sans jugement et sans attente, nos pensées, nos émotions, nos sensations, mais aussi en accueillant l’environnement qui nous entoure. La méditation de pleine conscience a été inventée dans les années 70 par le biologiste américain Jon Kabat-Zinn.

    Si vous souhaitez en savoir plus sur cette pratique, Yoburo vous invite à lire les articles suivants : Focus sur… la méditation ! et Musclez votre esprit grâce à la méditation.

    La sophrologie

    La sophrologie est « un entraînement psychophysique de la conscience, basé sur la perception positive de notre monde intérieur ainsi que sur le développement d’une relation positive avec le monde extérieur » (définition de Natalia Caycedo, psychiatre, sophrologue et fille du fondateur de la sophrologie). Cette pratique permet de faire un travail sur soi en développant une conscience sereine et en optimisant ses capacités individuelles. La sophrologie a été inventée dans les années 60 par le neuropsychiatre Alfonso Caycedo.

    Si vous souhaitez en savoir plus sur cette pratique, Yoburo vous invite à lire les articles suivants : Focus sur… la sophrologie ! et La sophrologie au bureau : comment mieux gérer son stress ?

    Quelles sont les différences entre la méditation et la sophrologie ?

    Voici les 3 principales différences entre la méditation et la sophrologie :

    Une approche différente

    La méditation de pleine conscience est une méthode qui se base essentiellement sur l’observation. En effet, lors d’une séance de méditation, il est important de porter une grande attention au moment présent ainsi que d’observer et d’accueillir, sans jugement, nos pensées, émotions et sensations.
    La sophrologie, quant à elle, se base essentiellement sur la visualisation positive. En effet, la sophrologie utilise la visualisation pour pouvoir se projeter positivement dans des situations de vie.

    Une temporalité différente

    Le principe de la méditation est de se focaliser uniquement sur l’instant présent pour se libérer des pensées qui nous envahissent quotidiennement (ruminations, anticipations, etc.). Contrairement à la méditation, la sophrologie ne s’arrête pas qu’au moment présent. Elle se tourne aussi vers le passé et le futur. La visualisation dans le futur permet de se projeter pour avancer vers nos objectifs personnels, tandis que la visualisation dans le passé permet d’avoir un regard plus positif sur nos expériences passées.

    Une autonomie différente

    La méditation peut se pratiquer seul(e), même s’il existe des méditations guidées pour apprendre cette méthode. À l’inverse, la sophrologie est une pratique qui est toujours guidée par un(e) sophrologue.

    Pour conclure

    La méditation et la sophrologie sont des pratiques différentes, mais complémentaires. En entreprise, ces 2 méthodes de relaxation et de bien-être améliorent la santé mentale des collaborateurs et collaboratrices. La santé mentale est « un état de bien-être qui permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire face aux difficultés normales de la vie, de travailler avec succès et de manière productive et d’être en mesure d’apporter une contribution à la communauté » (définition de l’OMS).

    Yoburo propose aux entreprises des séances de sophrologie et de méditation. Nous nous adaptons à vos conditions, vos envies et vos besoins pour vous offrir des ateliers bien-être sur mesure ! Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

  • La fatigue visuelle

    Avec nos modes de vie actuels, il est difficile d’échapper à la fatigue visuelle. Mais concrètement, qu’est-ce que la fatigue visuelle ? Quels sont les symptômes et les causes de ce trouble ?
    Dans cet article, Yoburo vous explique cela en détail !

    Qu’est-ce que la fatigue visuelle ?

    La fatigue oculaire est une altération temporaire du fonctionnement de l’œil. Cette altération résulte d’un effort excessif des yeux. En effet, tout comme les autres muscles de notre corps, lorsque l’on sollicite trop nos muscles oculomoteurs, cela entraîne une fatigue ainsi que d’autres désagréments.

    Quels sont les symptômes de la fatigue oculaire ?

    Voici les principaux symptômes de la fatigue visuelle :
    • baisse de la vue au cours de la journée (vision floue ou dédoublée) ;
    • difficultés d’accommodation de la vue ;
    • sensation d’éblouissement ;
    • yeux secs, rouges et irrités ;
    • sensation de brûlure ou de picotement dans les yeux ;
    • maux de tête ;
    • douleurs autour des yeux…

    Quelles sont les causes de la fatigue visuelle ?

    Voici les principales causes de la fatigue oculaire :
    • une exposition trop prolongée aux écrans ;
    • la fixation d’un même point pendant longtemps et à courte distance ;
    • une mauvaise luminosité ambiante (un excès de luminosité ou, au contraire, une trop faible luminosité) ;
    • le manque de sommeil ;
    • un équipement optique (lunettes de vue et lentilles) inadapté au trouble visuel ;
    • la fumée de cigarette ;
    • la lecture prolongée…

    Pour conclure

    Au quotidien, la fatigue visuelle peut s’avérer inconfortable, voire douloureuse. Elle peut également affecte négativement nos performances au travail. En effet, la fatigue oculaire entraîne des difficultés de concentration, de compréhension, d’attention… Prendre soin de ses yeux est donc essentiel pour notre bien-être et notre productivité !

    Pour prévenir et limiter la fatigue visuelle au travail, Yoburo vous propose :
    • un atelier bien-être dédié au yoga des yeux ;
    • un podcast : Lâcher l’écran ! 3 exercices pour reposer ses yeux ;
    • un article : Limiter la fatigue oculaire

  • 6 conseils pour bien dormir

    À l’occasion de la 22e Journée internationale du sommeil, Yoburo vous donne 6 conseils simples et efficaces pour bien dormir !

    Avoir un rythme de sommeil régulier

    Se coucher et se lever approximativement à la même heure tous les jours régularise votre horloge biologique et vous permet d’avoir un sommeil de qualité.

    Créer un environnement propice au sommeil

    Pour dormir dans des conditions optimales, nous vous recommandons :
    • d’avoir une literie agréable et confortable ;
    • de dormir dans l’obscurité et dans le calme ;
    • d’aérer votre chambre tous les jours ;
    • d’avoir une température entre 16 °C et 18 °C dans votre chambre.

    Éviter les écrans le soir

    La lumière bleue des écrans perturbe la sécrétion de mélatonine, c’est-à-dire l’hormone qui favorise l’endormissement. Pour bien dormir, il est donc conseillé de ne pas regarder d’écrans 1 à 2 heures avant votre coucher.

    Pratiquer une activité physique régulière

    Exercer une activité physique régulière favorise l’endormissement et améliore la qualité du sommeil. En revanche, veillez à ne pas exercer d’activité sportive intense 2 à 3 heures avant votre coucher pour ne pas perturber et nuire à votre sommeil. En effet, en pratiquant une activité physique intense, vous augmentez votre température corporelle et sécrétez des hormones qui vous maintiennent éveillé.

    Diner sain et équilibré

    Votre alimentation a également un impact sur votre sommeil. Pour bien dormir, nous vous recommandons :
    • de ne pas sauter le dîner pour éviter les fringales nocturnes ;
    • d’éviter de diner des plats trop copieux, épicés et riches en protéines pour faciliter votre digestion ;
    • de ne pas consommer de stimulants (café, thé, chocolat, alcool, tabac, etc.) 6 heures avant votre coucher ;
    • de dîner 2 voire 3 heures avant votre coucher, car lors de la digestion votre température corporelle augmente, ce qui altère votre sommeil.

    Faire des activités calmes et relaxantes en fin de journée

    Après une journée bien remplie, il est important de se détendre et de lâcher-prise. Lire un livre, écouter un podcast, faire des exercices de respiration ou bien encore méditer sont d’excellents moyens pour se relaxer et favoriser le sommeil.

    Pour conclure

    En appliquant quotidiennement ces quelques conseils, vous tomberez dans les bras de Morphée facilement et aurez un sommeil de qualité !
    Vous êtes une entreprise et souhaitez prendre soin du sommeil de vos collaborateurs ?
    Yoburo peut vous accompagner dans cette démarche en vous proposant des activités physiques, des ateliers bien-être et des conférences adaptés à vos besoins.

    Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

  • Travail sur écran – comment avoir une posture ergonomique ?

    L’ergonomie améliore le confort et préserve la santé des collaborateurs. Dans cet article, Yoburo vous donne quelques conseils pour aider les collaborateurs à avoir une posture ergonomique adaptée au travail sur écran. Ces conseils sont valables aussi bien en entreprise qu’en télétravail.

    Équiper les collaborateurs avec du matériel ergonomique

    Le matériel ergonomique apporte un confort aux collaborateurs travaillant quotidiennement assis et devant un écran : amélioration de la posture, diminution des risques de troubles musculo-squelettiques, réduction de la fatigue, etc. De plus, en travaillant avec du matériel adapté et confortable, les collaborateurs sont plus performants et efficaces dans leur travail.

    Voici quelques recommandations pour choisir le matériel ergonomique indispensable pour aménager un poste de travail sur écran :

    Le bureau

    Il doit être choisi en fonction des critères suivants :

    La hauteur du bureau doit être adaptée à la taille du collaborateur pour qu’il puisse adopter une posture ergonomique. Pour limiter la position statique, il existe des bureaux assis-debout permettant d’alterner entre la position assise et la position debout.

    Le bureau doit être suffisamment large pour que le collaborateur puisse mettre tout le matériel dont il a besoin pour exercer son travail dans de bonnes conditions (clavier, souris, écran, documents, téléphone, etc.).

    La chaise
    Elle doit être choisie en fonction des critères suivants :

    Le dossier, l’assise et les accoudoirs de la chaise doivent être réglables. Ces réglages permettent au collaborateur d’avoir une posture assise ergonomique.

    La profondeur de la chaise doit permettre au collaborateur d’appuyer le bas de son dos sans que le bord de la chaise exerce une pression derrière ses genoux.

    La surface de la chaise doit être confortable et fabriquée avec des matériaux respirants afin de limiter l’accumulation de chaleur et d’humidité.

    L’écran

    Il doit être choisi en fonction des critères suivants :

    L’inclinaison, la rotation et la hauteur de l’écran doivent être réglables. En effet, pour limiter les douleurs musculaires, un écran doit toujours être ajusté à son utilisateur.

    La taille et la résolution de l’écran doivent être adaptées aux tâches du collaborateur. Par exemple, un collaborateur travaillant dans la bureautique n’aura pas forcément besoin d’un grand écran et d’une très haute résolution, contrairement à un collaborateur travaillant dans l’infographie.


    Le clavier et la souris

    Ils doivent être choisis en fonction des critères suivants :

    Le clavier doit être dissocié de l’écran pour ne pas entraîner une fatigue inutile au niveau des avant-bras.

    La surface du clavier doit être mate pour éviter les reflets.

    L’épaisseur du clavier ne doit pas excéder 3 cm pour limiter l’extension des poignets.

    La taille et la forme de la souris doivent être adaptées aux mains de l’utilisateur. Les souris verticales sont à privilégier, car elles permettent d’avoir une position plus naturelle de l’avant-bras.

    Une souris sans fil apporte plus de confort à l’utilisateur. 


    Aménager de façon ergonomique les postes de travail sur écran

    Pour que les collaborateurs puissent profiter pleinement du matériel ergonomique, il est essentiel d’aménager convenablement les postes de travail sur écran en prenant en compte les caractéristiques physiques de chaque collaborateur (correction visuelle, taille, etc.).

    Voici les principales recommandations de l’INRS pour aménager de façon ergonomique un poste de travail informatisé :

    • La hauteur de la chaise doit être ajustée à la taille du collaborateur afin qu’il puisse poser fermement ses pieds sur le sol. Le dossier de la chaise doit maintenir son dos droit ou légèrement en arrière. La hauteur des accoudoirs doit permettre au collaborateur de positionner ses coudes à 90°.

    • La surface du bureau doit être à la hauteur des coudes du collaborateur. 


    • L’écran doit se trouver en face du collaborateur. Le haut de l’écran doit arriver à la hauteur de ses yeux, sauf s’il porte des verres progressifs. Dans ce cas, l’écran doit être positionné un peu plus bas. La distance œil-écran dépend de la taille de l’écran. Généralement, elle situe entre 50 et 70 cm. Pour améliorer le confort visuel, les paramètres d’affichage de l’écran (luminosité, taille et contraste du texte) doivent également être ajustés en fonction de la vue et des préférences du collaborateur.

    • Le clavier doit se situer en face du collaborateur et se trouver à une distance de 10 à 15 cm du bord du bureau.

    • La souris doit être proche du clavier et se situer à la même hauteur que celui-ci.

    Aider les collaborateurs à prendre de bonnes habitudes pour avoir une posture ergonomique

    Pour aider les collaborateurs à acquérir de bonnes habitudes pour avoir une posture ergonomique au travail, les entreprises peuvent :

    Proposer des formations et conférences sur le thème de l’ergonomie au travail

    Ces formations et conférences peuvent aider les collaborateurs à mieux comprendre l’importance de l’ergonomie au travail, à savoir aménager un poste de travail de façon ergonomique, à adopter les bons gestes et les bonnes postures, etc.

    Yoburo propose aux entreprises 2 conférences dédiées à l’ergonomie au travail : • Se prémunir des troubles musculo-squelettiques.
    • Adopter la bonne posture au travail.
    Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

    Organiser des ateliers bien-être ergonomiques
 


    Ces ateliers bien-être permettent de répondre aux problématiques de sédentarité et de mauvaises postures des collaborateurs travaillant quotidiennement assis et devant un écran.

    Yoburo propose aux entreprises des ateliers bien-être dédiés à l’ergonomie : posturologie, exercices pour soulager le dos, yoga des yeux, yoga sur chaise

    Pour conclure

    L’ergonomie permet d’améliorer la qualité de vie au travail des collaborateurs. En contribuant au bien-être des collaborateurs, l’entreprise limite les risques d’absentéisme et de turnover, améliore la motivation, les performances et la productivité des collaborateurs.

  • 6 idées de pauses à faire au travail

    S’accorder des pauses au travail améliore notre bien-être, notre vitalité, notre productivité… Dans cet article, Yoburo vous propose 6 idées de pauses à faire quotidiennement au travail.

    Pratiquer une activité physique

    Faire du sport est un excellent moyen pour avoir une vraie pause durant sa journée de travail. En effet, pratiquer une activité physique permet de décompresser, de se changer les idées et de faire le plein d’énergie. De plus, le sport apporte de nombreux bienfaits au corps et à l’esprit : maintient en forme, apporte une sensation de bien-être, réduit le stress, améliore les performances physiques et mentales…

    Yoburo propose des activités sportives variées et adaptées aux besoins des entreprises : circuit training, stretching, cardio-boxing, Taï-Chi, renforcement musculaire, Qi Gong, yoga, Pilates


    Se relaxer

    Il existe de nombreuses méthodes pour se relaxer au travail :

    • La méditation de pleine conscience
    La méditation est une pratique permettant de prendre pleinement conscience de son corps, de ses sensations, de son environnement et de l’instant présent. La méditation détend, diminue le stress, augmente les capacités d’attention et de concentration…

    Si vous souhaitez en savoir plus sur cette pratique, Yoburo vous invite à lire les articles suivants : Focus sur la méditation ! et Musclez votre esprit grâce à la méditation.

    • La sophrologie

    La sophrologie possède de nombreux points communs avec la méditation. La grande différence entre ces deux pratiques est que la sophrologie ne s’arrête pas à l’instant présent, elle se tourne aussi vers le passé et le futur. De plus, la sophrologie est davantage guidée.

    Si vous souhaitez en savoir plus sur cette pratique, Yoburo vous invite à lire les articles suivants : Focus sur la sophrologie ! et La sophrologie au bureau : comment mieux gérer son stress ?

    Les exercices de respiration

    Les exercices de respiration apportent un état de bien-être et réduisent le stress. Ce sont des exercices simples et efficaces pour se détendre et pour relâcher la pression liée au travail.

    Si vous souhaitez en savoir plus sur cette pratique, Yoburo vous invite à :
    – lire notre article : 3 exercices simples de respiration.
    – visionner notre vidéo : Exercices de respiration pour se détendre avant une réunion importante.
    – écouter notre podcast : Coup de stress : la respiration idéale pour retrouver son calme.

    Le yoga sur chaise
    Cette pratique relaxe et évacue les tensions du quotidien. Elle améliore également notre posture et notre mobilité. Les postures du yoga sur chaise sont très faciles à reproduire le temps d’une pause au bureau.

    Si vous souhaitez en savoir plus sur cette pratique, Yoburo vous invite à lire les articles suivants : Focus sur… le yoga sur chaise ! et Yoga sur chaise – il est urgent de s’asseoir !

    Yoburo propose de nombreux ateliers bien-être en entreprise : exercices de respiration, auto- massage, yoga sur chaise, sophrologie, méditation, yoga des yeux… Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

    Lire

    Lire est une activité idéale pour se détendre et s’évader le temps d’une pause. De plus, lire stimule le cerveau, diminue le stress, améliore la mémoire, l’attention, la concentration…

    Faire des micro-siestes

    En cas de coup de mou au travail, les micro-siestes sont idéales pour regagner en énergie ! Pour être efficaces, les micro-siestes doivent se faire dans un endroit calme et ne pas dépasser les 20 minutes. En plus d’être reposantes, les micro-siestes réduisent le stress, améliorent l’attention, augmentent la productivité, diminuent la pression artérielle, rééquilibrent le fonctionnement du système nerveux…


    Prendre l’air 
 


    Prendre l’air permet de changer d’environnement et de décompresser. De plus, faire une pause en extérieur aide à diminuer le stress et l’anxiété, se ressourcer, gagner en vitalité…

    Échanger avec les autres collaborateurs

    Faire des pauses avec ses collègues est aussi un excellent moyen pour se changer les idées. Cela permet d’avoir des échanges informels, de créer des liens sociaux et d’avoir une bonne cohésion d’équipe.

    Pour conclure

    Il existe énormément de façons de faire des pauses au travail… à vous de choisir celles qui vous correspondent le mieux !

  • Quand faire du sport en entreprise ?

    À quel moment de la journée faut-il faire du sport en entreprise ? Le matin ? Le midi ? L’après-midi ? Le soir ? Dans cet article, Yoburo vous donne la réponse !

    Le matin, avant de commencer le travail

    Exercer une activité physique le matin, avant de commencer le travail, est un excellent moyen pour aborder sereinement la journée ! En effet, faire du sport le matin permet de réveiller et de stimuler en douceur votre corps et votre esprit pour travailler dans les meilleures conditions.

    Pour échauffer votre corps et limiter les risques de blessures, il est conseillé de pratiquer des activités douces le matin telles que le réveil musculaire, le Pilates, le stretching, la marche…

    Le midi et l’après-midi, pendant le travail

    Pratiquer une activité sportive pendant la pause déjeuner ou l’après-midi est une solution idéale pour avoir une vraie coupure durant sa journée de travail ! Cela permet de s’aérer l’esprit, de décompresser et de faire le plein d’énergie pour rester concentré et performant au travail.

    Si vous souhaitez faire du sport pendant votre pause déjeuner, veillez à planifier votre séance avant votre repas pour éviter des inconforts digestifs. En revanche, si vous souhaitez faire du sport l’après-midi, planifiez votre séance 2 à 3 heures après votre repas.

    Le midi et l’après-midi sont les meilleurs moments de la journée pour pratiquer des sports d’endurances tels que le circuit training, le cardio-boxing, la danse,…

    Le soir, après la journée de travail

    Exercer une activité sportive après sa journée de travail est un excellent moyen pour se défouler et évacuer toutes les tensions accumulées au cours de la journée !

    Pour ne pas perturber et nuire à votre sommeil, il est recommandé de ne pas exercer d’activité physique intense 2 à 3 heures avant le coucher. En fin de journée, privilégiez des activités de renforcement musculaire ou des activités relaxantes (yoga, Pilates, Qi Gong, gym douce…).

    Pour conclure

    Tous les moments de la journée sont bons pour faire du sport en entreprise !

    Pour améliorer la santé, la qualité de vie et la productivité des collaborateurs, Yoburo propose des activités sportives variées et adaptées aux besoins des entreprises : circuit training, cardio-boxing, danse, renforcement musculaire, yoga, Pilates, stretching, self- defense…

    Nos coachs sportifs s’adaptent à tous les participants (condition physique, niveau de pratique, état de santé, etc.).
    N’hésitez plus et testez une séance de sport avec Yoburo !

  • Le stress au travail – le comprendre et le prévenir

    Le stress au travail, personne n’y échappe. Nous croisons tous sa route, et pour certains d’entre nous, assez fréquemment. Yoburo vous aide à comprendre et à prévenir le stress en entreprise.

    Qu’est-ce que le stress ?

    Le stress est une réaction psychologique et physiologique de l’organisme pour s’adapter à une situation que l’on considère comme contraignante, voire dangereuse. Le stress est provoqué par nos pensées et par notre façon d’interpréter des situations comme étant menaçantes et négatives.

    Pour l’OMS, « le stress lié au travail est l’ensemble des réactions que les employés peuvent avoir lorsqu’ils sont confrontés à des exigences et à des pressions professionnelles ne correspondant pas à leurs connaissances et à leurs capacités et qui remettent en cause leur aptitude à faire face ».

    Quelles sont les différentes phases du stress ?

    Pour Hans Selye (médecin pionnier des études sur le stress), l’organisme répond à une situation stressante en 2 voire 3 phases :

    La phase d’alarme : réaction réflexe de l’organisme.
    Pendant cette première phase, le corps libère des hormones telle que l’adrénaline. La force musculaire, les perceptions et les réflexes de notre corps sont temporairement décuplés pour nous permettre de réagir immédiatement face à une situation stressante.

    La phase de résistance : mobilisation totale de l’organisme.
    Si la situation stressante persiste, la phase de résistance débute.
    Pendant cette deuxième phase, le corps libère de nouvelles hormones (cortisol, dopamine, sérotonine…) et augmente dans le sang le taux de sucre, d’acide gras, etc. Notre corps mobilise temporairement toutes ses ressources pour nous permettre de réagir et de répondre au mieux à une situation stressante.

    La phase d’épuisement : apparition du stress chronique.
    Si la situation stressante perdure trop longtemps ou qu’elle se reproduit trop fréquemment, l’organisme entre dans la phase d’épuisement.
    Pendant cette troisième phase, les capacités de l’organisme fonctionnent en permanence à « plein régime ». Cela entraîne un épuisement des ressources de notre organisme.

    Quels sont les différents types de stress ?

    Il existe 2 types de stress :

    Le stress aigu, aussi appelé le « bon stress », est de courte durée et est souvent bénéfique. Il permet à l’organisme de mobiliser un maximum de ressources pour réagir convenablement à une situation stressante (par exemple : être plus efficace pour terminer un projet avant la deadline, éviter un accident de voiture…). Une fois la situation stressante terminée, une réaction de détente s’enclenche automatiquement. Après un peu de repos, l’organisme retourne à son métabolisme habituel.

    Le stress aigu correspond à la phase d’alarme et la phase de résistance.

    Le stress chronique, aussi appelé le « mauvais stress », est, quant à lui, de longue durée et est néfaste pour la santé physique et mentale. En effet, une exposition prolongée et répétée au stress entraîne une déperdition d’éléments biochimiques ainsi que des désordres métaboliques et physiologiques.

    Le stress chronique correspond à la phase d’épuisement. 
 Quelles sont les causes du stress au travail ?

    Les principales causes de stress au travail sont :
    La charge de travail : surcharge de travail, contraintes temporelles…

    Les horaires de travail : horaires imprévisibles, stricts, incompatibles avec la vie sociale…

    La participation et le contrôle : le manque de participation aux prises de décisions, l’absence de contrôle sur les méthodes de travail et l’organisation…

    La progression de carrière, le statut et le salaire : absence d’évolution professionnelle, précarité de l’emploi, salaire faible, manque de reconnaissance…

    Les relations interpersonnelles : mauvaises relations avec les collègues, travail isolé, manque de considération de la part des supérieurs…

    La culture d’entreprise : mauvaise direction et communication, manque de clarté concernant les objectifs de l’entreprise…

    Quelles sont les conséquences du stress chronique ?

    Comme nous l’avons vu précédemment, le stress chronique entraîne des conséquences négatives pour les collaborateurs atteints par ce type de stress, mais il peut aussi avoir des conséquences négatives pour l’entreprise.

    Pour les collaborateurs, le stress chronique peut entraîner des problèmes :
    • physiques : fatigue, migraines, troubles du sommeil, maux de dos, troubles cardiaques, troubles digestifs…
    • émotionnels et psychologiques : faible estime de soi, fatigue morale, émotivité importante, ruminations, angoisses, troubles de la concentration et de la mémoire, risque de burnout…
    • comportementaux : irritabilité, impulsivité, agitation, repli sur soi, apathie, comportements addictifs (consommation accrue de tabac, alcool, café, nourriture, etc.)…

    Pour l’entreprise, le stress chronique peut entraîner :
    • une démotivation des collaborateurs;
    • une diminution de la productivité;
    • une dégradation des relations sociales;
    • une augmentation de l’absentéisme et du turnover;
    • des difficultés pour remplacer le personnel ou recruter de nouveaux employés;
    • une augmentation des accidents du travail;
    • une mauvaise image de l’entreprise…

    Comment prévenir le stress en entreprise ?

    Voici quelques pistes pour prévenir le stress en entreprise : 
 


    Créer un climat de travail sain.
    Veiller à la bonne entente entre les collaborateurs, gérer les conflits de façon diplomatique, organiser des activités de team building pour renforcer la cohésion entre les collaborateurs, avoir de la reconnaissance pour leur travail…

    • Permettre aux collaborateurs de se réaliser et d’évoluer.
    Favoriser la formation professionnelle et l’évolution de carrière, donner plus de responsabilités et d’autonomie aux collaborateurs…

    • Équilibrer la vie personnelle et professionnelle des collaborateurs.
    Adapter les horaires de travail, accorder des journées de télétravail, respecter les temps de repos des collaborateurs, éviter la surcharge de travail…
    Yoburo propose une conférence bien-être pour aider les collaborateurs à mieux équilibrer leur vie personnelle et professionnelle.

    • Programmer des ateliers bien-être pour aider les collaborateurs à mieux gérer le stress au travail.
    Yoburo propose de nombreux ateliers bien-être en entreprise : exercices de respiration, auto- massage, gestion du stress, yoga sur chaise, sophrologie, méditation…

    Pour apprendre à mieux gérer le stress, Yoburo vous propose également :
    – d’écouter notre podcast : La respiration idéale pour retrouver son calme.
    – de lire nos articles : Stress au travail, comment gérer ? et Gérer son stress au boulot : la respiration, remède simple et efficace.

    • Proposer des séances de sport en entreprise.
    Le sport est un excellent moyen pour évacuer le stress. De plus, l’activité sportive en entreprise renforce l’esprit d’équipe et augmente la productivité des collaborateurs. Yoburo propose de nombreuses activités sportives en entreprise : circuit training, cardio- boxing, danse, renforcement musculaire, yoga, pilates

    Pour conclure

    En améliorant la qualité de vie au travail, l’entreprise limite le stress chronique et améliore le bien-être des collaborateurs. En favorisant le bien-être des collaborateurs, l’entreprise développe et accroît sa productivité.

  • Télétravail – préserver le bien-être des collaborateurs

    Tout comme au bureau, les collaborateurs en télétravail ont besoin d’être dans de bonnes conditions pour être épanouis et productifs. Dans cet article, Yoburo vous donne quelques conseils pour préserver le bien-être des collaborateurs en télétravail.

    Équiper les collaborateurs en télétravail avec du matériel ergonomique

    Pour télétravailler dans des conditions optimales, les collaborateurs ont besoin d’avoir du matériel ergonomique adapté à leur poste de travail : bureau, chaise, écran, souris, clavier, repose-pieds…

    Le matériel ergonomique apporte un confort quotidien pour les collaborateurs en télétravail : amélioration de la posture, diminution des risques de troubles musculo- squelettiques, réduction de la fatigue, etc. En travaillant avec du matériel adapté et confortable, les collaborateurs sont plus performants et efficaces.

    Organiser des moments conviviaux virtuels et réels

    En télétravail, les collaborateurs peuvent se sentir isolés. Pour éviter ce sentiment, l’entreprise peut organiser des moments conviviaux virtuels et réels. Ces moments permettent aux collaborateurs d’avoir des interactions informelles et de créer des liens sociaux. Cela permet également de renforcer l’esprit d’équipe.

    Pour les échanges virtuels, l’entreprise peut organiser en visioconférence des petits- déjeuner avant de commencer le travail, des pauses café à distance, des séances de sport

    Pour les rencontres physiques, l’entreprise peut organiser des challenges sportifs, ateliers créatifs… il y a un large choix d’activités de team building !

    Veiller à la santé physique et mentale des collaborateurs en télétravail

    Veiller à la santé physique et mentale des collaborateurs en télétravail est primordial pour préserver leur bien-être et leur productivité ! Voici quelques idées à mettre en place :

    Proposer des séances de sport en visioconférence

    L’activité sportive apporte de nombreux bienfaits au corps et à l’esprit. En effet, le sport maintien en forme, réduit le stress, apporte une sensation de bien-être, améliore les performances physiques et mentales, etc.

    Yoburo propose aux entreprises des activités sportives par visioconférence : cardio-boxing, danse, renforcement musculaire, yoga, Pilates

    Proposer des ateliers et conférences bien-être en visioconférence

    Organiser des ateliers et conférences axés sur la détente et le bien-être en télétravail est un excellent moyen pour améliorer le quotidien des collaborateurs.

    Yoburo propose aux entreprises des ateliers bien-être adaptés au télétravail : respiration, auto-massage, yoga des yeux, gestion du stress, yoga sur chaise, méditation, sophrologie… Yoburo propose également des conférences bien-être : bien-être et santé, équilibre de vie, alimentation et optimisation du potentiel.

    Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

    Proposer régulièrement des entretiens de suivi

    Les entretiens de suivi permettent de faire le point sur la charge de travail, l’équilibre vie personnelle et professionnelle, les conditions de télétravail et les besoins des collaborateurs.

    Équilibrer la vie personnelle et professionnelle des collaborateurs en télétravail

    En télétravail, la vie professionnelle peut vite empiéter sur la vie personnelle des collaborateurs. Pour éviter cela, l’entreprise peut :

    Surveiller la charge de travail des collaborateurs

    Mettre en place des indicateurs de suivi pour observer si la charge de travail des collaborateurs est ponctuelle ou récurrente et si elle est bien répartie dans le temps et entre les travailleurs.

    Respecter le droit à la déconnexion

    Pendant les temps de repos et jours de congés, les collaborateurs ont le droit de se déconnecter de leurs outils numériques professionnels.

    Encourager les collaborateurs à bien distinguer leur vie personnelle et professionnelle

    Inciter les collaborateurs à respecter les horaires de travail, les aider à aménager un véritable espace de travail à leur domicile… L’objectif est de créer une frontière physique et psychologique entre la vie personnelle et professionnelle des collaborateurs.

    Pour conclure

    En mettant en place ces conseils, l’entreprise :
    • améliore le confort des collaborateurs.
    • préserve la santé mentale des collaborateurs : réduction du stress, diminution des risques de surcharge mentale et de burnout, limite le sentiment d’isolement…
    • préserve la santé physique des collaborateurs : limite les troubles musculo-squelettiques, la sédentarité et les problèmes provoqués par celle-ci (diabète, maladies cardiovasculaires, cancers, obésité)…
    • renforce l’esprit d’équipe des collaborateurs : meilleure cohésion, solidarité, empathie et entraide au sein de l’équipe.

    En améliorant la qualité de vie des collaborateurs en télétravail, l’entreprise gagne en productivité. En effet, des collaborateurs en bonne santé physique et mentale sont des collaborateurs plus performants, efficaces et engagés dans leur travail !